Pour faire de l’apprentissage de la mythologie grecque un jeu, Okapi a conçu pour les 10-15 ans un dossier spécial avec des cartes-personnages à collectionner. Chaque monstre ou héros y a ses forces, ses attributs, ses faiblesses, sa mission… Ça vous rappelle les cartes Pokémon ? C’est normal. Aux élèves aussi, qui vont adorer s’y plonger et tout retenir en un rien de temps.
D’où viennent tous ces mythes ?
La quête des origines
Depuis la nuit des temps, l’homme se pose des questions sur l’origine du monde et les mystères de l’existence. Pour y répondre, les Grecs (puis les Romains) se sont inventé un tas d’histoires teintées de drames et d’exploits, que l’on appelle des mythes. Ils donnaient du sens à des phénomènes qui les dépassaient, et les rassemblaient autour d’une culture commune.
Une transmission par le bouche-à-oreille
Les mythes, fruits d’une tradition orale, se racontaient et se transmettaient de génération en génération, en évoluant suivant les régions et les époques. Certains se sont perdus, faute d’avoir été écrits ou traduits. D’autres nous sont parvenus grâce aux œuvres de poètes grecs comme Homère, l’auteur de l’Iliade et l’Odyssée.
Qui sont tous ces personnages ?
Des mortels et des dieux
Ces récits fondateurs mettent en scène des figures remarquables : des dieux, comme Zeus, roi de l’Olympe, et des héros ! Ces mortels dotés de qualités incroyables vivent des aventures hors du commun. Leur mission ? Rendre le monde plus harmonieux en le débarrassant des monstres qui y sèment le chaos.
Où sont les femmes ?
Dans l’Antiquité, l’égalité des sexes n’était pas au goût du jour ! Rare sont les héroïnes, les intrigues offrant surtout aux figures féminines une fonction d’alliée. Et quand les femmes jouent un rôle de premier plan, elles incarnent souvent… le monstre ! Méduse, transformée en monstre après son viol par Poséidon, était ainsi associée au péché, avant d’être, plus récemment, réhabilitée en symbole des violences faites aux femmes.